Étape 1 : Je commence par casser mes 4 œufs, et je sépare les jaunes des blancs dans deux bols. Avec mon fouet, je bats les jaunes avec les 50 g de sucre jusqu’à ce qu’ils blanchissent et deviennent mousseux – c’est magique à voir ! Je mets les blancs de côté pour plus tard, et je me concentre sur cette base dorée.

Étape 2 : Ensuite, j’ajoute les 250 g de mascarpone aux jaunes, et je mélange doucement avec ma cuillère en bois. Je m’applique pour que ça devienne lisse et homogène, et j’aime voir la crème prendre forme sous mes yeux. C’est le moment où je commence à rêver au résultat, et ça sent déjà bon.

Étape 3 : Maintenant, je prends mon fouet et je bats les 4 blancs en neige ferme – un peu d’huile de coude, mais ça vaut le coup ! Je les incorpore délicatement à ma crème au mascarpone, en soulevant avec une spatule pour garder l’air. Voir cette texture aérienne me donne envie de plonger dedans direct !

Étape 4 : Pour le coulis, je lave et équeute 100 g de fraises, et je les mixe dans mon petit blender jusqu’à ce que ça devienne lisse. J’ajoute les 4 cuillères à soupe de rhum (ou pas, si c’est pour les petits), et un filet d’eau si c’est trop épais. Je goûte, et je souris en sentant ce parfum fruité qui me transporte.

Étape 5 : Je prends mes 20 à 30 biscuits à la cuillère, et je les trempe vite dans le coulis – pas trop longtemps, pour qu’ils restent un peu fermes. Je les dispose au fond de mon plat (ou dans des verrines), et je verse un tiers de la crème par-dessus, bien étalée. Puis, je coupe 700 g de fraises restantes en morceaux, je les lave, les équeute, et j’en mets une couche généreuse sur la crème.

Étape 6 : Je répète l’opération : une couche de biscuits trempés, encore un tiers de crème, et quelques fraises pour faire joli. Je termine avec le reste de la crème, que je lisse bien pour que ce soit beau à l’œil. Je pose quelques fraises entières ou des feuilles de menthe sur le dessus, et je me dis que c’est presque trop joli pour être mangé !

Étape 7 : Enfin, je mets mon tiramisu au frigo pour au moins 2 heures – c’est dur d’attendre, mais ça vaut le coup. Quand je le sors, je le regarde avec fierté, et je le coupe en parts ou je sers mes verrines. C’est le moment de partager, et je te jure, tu vas vouloir te resservir !